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| Varteja :: Y prendre part :: Recensement de la population :: Présentations validées :: Noblesse | Humbert, le Baron à Roulettes | Messages : 3 Date d'inscription : 24/01/2024
Mer 24 Jan - 19:59 Humbert de Cornel Comte de Morhai - Degron | | Humbert de Cornel Dans vénérable, y a vénère, et vous m'énervez sévère. NOM : Cornel PRENOM : Humbert SURNOM : Le Baron à Roulettes (mes détracteurs seulement, bien sûr), Dix-Cors, Le Vieux, Le Conquérant, Trompe-la-Mort. SEXE : M AGE : 72 ans RANG SOCIAL : Comte de Morhai (Noble dirigeant) LIEU DE VIE : Forteresse de Morhai Dans ma jeunesse, peut-être m’auriez-vous trouvé particulièrement bel homme (et si elle est encore vivante, vous pourrez demander confirmation à votre grand-mère. Rompu aux arts martiaux, j’avais le corps bien fait des puissants bacheliers de Degron, la frange châtaine et moqueuse des Cornel, et les jambes fortes que se doit d’obtenir un cavalier en courant la campagne à dos de destrier ! Un vrai cador que j’étais, si vous aviez pu me voir dans ma jeunesse ! Malheureusement, si vous aviez pu m’observer en ce temps-là, déjà vous seriez sans doute en aussi piètre état à présent, mais vous seriez bien déçu de l’image que je renvoie de l’antique et valeureux héros de jadis. Mon corps de guerrier s’est tassé sur lui-même, le manque d’exercice y dissolvant le gros du muscle. Adieu, belle chevelure aux reflets ambrés, bonjour terne grisaille au front disgracié… Quant à mes cuisses baraquées, la vie leur réserva le pire des drames, et me voici à présent cloué sur une satanée chaise de bois, avec des roulettes qui couinent dès qu’elles manquent d’huile… Quelle disgrâce n’est-ce pas ? J’ai vu plus d’un de mes bannerets détourner les yeux de moi, ou leur narine avoir un spasme en m’observant. Est-ce la vision d’un vieillard décati qui puisse en être responsable ? Ou est-ce plutôt l’image que je leur renvoie de ce qu’ils seront inéluctablement, s’ils ne périssent pas au champ d’honneur comme j’aurais dû le faire il y a des décennies de cela ? Un vieux débris impotent, voilà comment ils me voient tous. Ce jusqu’à ce qu’ils me regardent dans les yeux. Car voyez-vous, eux n’ont pas changé. Ce sont les mêmes saphirs qui ont vu l’Auven à son plus bas, lorsque tous craignaient de sortir dans la Sauvagerie. Ce sont les mêmes globes qui dévisagèrent tous ces hommes et femmes rendus cinglés par la maladie, qui observèrent agoniser gens infectés, brigands et traîtres. Ce sont les mêmes pupilles qui ont vu vos grands-pères chialer comme des mômes devant le spectacle de la fin du monde… Et pourtant, le monde n’est pas fini. Et pourtant, ils reste encore des hommes et des femmes. Et pourtant, Auven est toujours debout. A la réflexion cependant, il serait injuste de dire que mon regard est resté le même. Certes, j’en ai trop vu, et certes je peux vous faire vous chier dessus rien qu’avec un mauvais œil, mais il y a aussi cet espèce d’affaissement de merde sur l’œil droit depuis que j’ai eu une espèce de poche sous l’œil… Mais toujours, rien de bien glorieux. Qu’est-ce que ça peut être moche, la vieillesse… Un jour, j’ai gagné un duel à mort contre l’un de mes plus féroces ennemis : le Chevalier Corbeau, un noble devenu brigand et qui ravageait les terres de mon père. Après lui avoir passé ma lame dans le défaut de son armure et l’avoir vu s’effondrer avec le sang jaillissant à gros bouillons de sa visière, j’ai exulté, et je me suis soudain vu vivre cent ans. Hé bien si j’avais su, je le laissais me planter à sa place. Parce que cent ans, croyez-moi, c’est foutrement long. C’est peut-être ce qui me rend si aigri, au fond ? Ils m’appellent tous Trompe-la-Mort, ou le Vieux, mais ça c’est surtout dans mon dos. Ceux qui me craignaient sont morts, ceux qui me respectent le font souvent pour mon grand âge ou mes prouesses passées. Les gens du Culte n’arrêtent pas de parler de bénédiction du Grand Loup, mais s’il avait tellement tenu à m’honorer, il m’aurait fait crever l’arme à la main devant une horde de cinglés corrompus. Heureusement que j’ai un peu de jugeote d’ailleurs, et que je n’étais pas seulement bon à étriper mon prochain, sinon je n’aurais pas fait long feu, le cul vissé sur ma chaise roulante, entre quatre murs épais. J’ai encore en moi la hargne du combattant, et je m’en sers pour affronter mes ingrats d’enfants, mes bannerets les plus sournois, et tous ces jeunes noblions qui pensent tout savoir du haut de leur vingt printemps. Je tyrannise peut-être tout mon château, mais c’est un droit que j’ai d’abord acquis de naissance, avant de le confirmer de haute lutte : la forteresse de Morhai est mienne par le sang, autant celui que ma mère versa lorsque je vins au monde que celui que j’ai moi-même versé pour la conserver. Le jeu politique est peut-être aussi palpitant que le jeu martial, oui… Néanmoins, il m’arrive de rêver que je suis de nouveau sur le dos d’Ombrage, mon valeureux destrier, et que je charge les lignes ennemies avec les cheveux au vent, la force de mon bras retrouvée, et avec elle, mon honneur de chevalier… Ombrage est mort, maintenant, cela fait des années. Mes ennemis aussi. Et l’épée dont j’usais avec tant de vigueur rouille au-dessus de mon âtre, attendant patiemment ma mort pour que l’un de mes empaffés de fils vienne la réclamer. Il y aurait tant à dire sur mon compte, et ce sans me vanter. Non seulement j’ai dépassé les soixante-dix hivers sur cette terre, mais ceux-ci furent bien remplis. Il est des hommes qui restent toute leur vie empêtrés dans un marasme qui les amollit, les gâche, et les dégoûte d’eux-mêmes. J’ai fort heureusement appris à bonne école, et j’ai lié mon destin à celui de mon pays : le résultat en a été saisissant, et j’ai encore bon espoir de contribuer à l’avancement d’Auven et à sa victoire contre la Corruption, Huvara nous entende. Je suis le fils puîné d’Emond de Cornel et d’Alaine de Sauran, et né au sein-même du château de Morhai. Mon aîné avait pour nom Erbert, et il me détestait de tout son cœur. Fort heureusement, il ne vécut pas assez longtemps pour me noyer dans un étang ou me perdre dans les bois : la Corruption le prit lors d’un voyage, et on l’acheva avant qu’il ne sombre dans la folie. La vie en Auven, en ce temps-là, était encore plus incertaine que maintenant : les territoires ensauvagés étaient plus nombreux, et des hardes d’animaux venaient encore fréquemment ravager nos métairies pour nous submerger. On commençait déjà à parler d’un nouveau type de Corruption, la fièvre des Lucioles, et tout le monde retenait son souffle. C’est dans ce genre d’atmosphère viciée que j’ai dû apprendre à respirer. Je n’avais guère à me plaindre comparé aux paysans de mes contrées, car en tant qu’héritier, j’étais choyé par ma maison, et j’avais échappé à une vie moniale en faisant chou blanc à la cérémonie du Mélange. En l’absence d’Erbert, c’est moi que l’on forma aux armes et aux arts de la chevalerie. Les Cornel de Morhai avaient une réputation à tenir, après tout, à la fois par loyauté pour le duc que par nécessité face aux malheurs nous frappant tous. Mon lignage ne connaît qu’une devise, et c’est la suivante : « Au cor j’accoure ». Si beaucoup y ont vu là une soumission à l’appel aux armes des ducs de Degron, moi et mon père avions une toute autre idée de sa signification : c’est lorsque l’on nous appelait au secours que nous enfourchions nos destriers. Mes premiers faits d’armes, je les ai faits fraîchement adoubé par mon oncle et mentor, Hildouin. A l’époque, un banneret félon terrorisait nos terres alors que nous tentions de reprendre Freden. Il se faisait appeler le Chevalier Corbeau, mais son vrai nom était Bor de Brihai, et il voulait s’approprier les nouvelles terres à l’ouest. Comme il était de notre devoir de châtier ce mauvais vassal, mon oncle et moi lui avons donné la chasse, et c’est à l’orée de la Grande Forêt que nous avons rencontré son équipée. Là, à l’ombre des bouleaux, j’ai étripé trois hommes, dont le Chevalier Corbeau en personne. Et pourtant, contre cet ennemi expérimenté, la lutte était inégale : moi, pauvre bachelier de pacotille, face à un ancien porte-glaive de mon paternel. Ma victoire n’aura tenu qu’à son arrogance : me croyant faible et geignard, c’est tout ce que je lui ai montré de moi, le poussant à l’erreur. Que n’ai-je pu contempler la surprise dans son regard lorsque je lui ai passé ma lame sous l’aisselle : il y avait trop de sang et la visière était baissée, mais je crois que j’aurais bien ri. Fort de ce nouveau prestige, j’ai acquis aux yeux de mon père assez de crédit pour lui servir de bras armé dans d’autres missions. Hameaux attaqués par des bêtes sauvages, chasse aux brigands, escorte de colons… Sur le dos de mon fidèle Vainqueur, un magnifique hongre bai, j’ai tant chevauché dans mon domaine que j’ai fini par le connaître comme ma poche. En ce temps, nos efforts pour recoloniser Freden et Gajor nous amenait à explorer des pans entiers de pays oubliés, avec leur lot de frayeurs, et aussi de tragédies. Je perdis bon nombre de compagnons face à la Corruption ou aux brigands. Il ne fallait pas non plus sous-estimer les sauvages et les hérétiques cachés dans les forêts millénaires. C’est dans ce genre de traîtreuse embuscade que je perdis mon vieil Hildouin, d’ailleurs. J’eus du mal à m’en remettre, car à l’époque, je le considérais comme un second père, celui qui avait fait de moi un homme. Croyez bien que je leur ai fait payer au centuple cet horrible meurtre, sans juge pour interférer avec ma sentence… Je vous vois déjà venir : est-ce qu’il va vraiment nous raconter tous les bandits qu’il a étrillés, tous les faits d’armes qu’il a à son actif ? Hé bien si vous vous posez la question, alors non, vous ne méritez pas de tout savoir. D’autres le feront volontiers pour moi, et vous rappelleront que parmi mes épithètes figurent le doux surnom de Conquérant, car c’est ce que nous avons fait, mon père et moi : conquis les nouvelles terres. Freden aurait dû nous revenir, mais mon cousin le duc s’en attribua le vasselage, et mon père en fut fort irrité. Afin de nous dédommager dans cette fâcheuse histoire, il m’offrit en mariage une jeune dame fort dotée en bien meubles et immeubles : Ingrid de Sauvenière. Et elle n’avait pas qu’une grosse escarcelle, je vous le garantis. Alors, pendant que je pardonnais à mon cousin, mon père lui fomentait un coup pour forcer la main à Degron et récupérer ce qu’il estimait être sien. Je n’ai pas vraiment bougé de mon côté, tiraillé entre ma piété filiale et mon accord avec le duc. Finalement, la question s’est réglée d’elle-même : un jour qu’il coursait une paysanne jusqu’à sa ferme dans l’optique de la mettre dans son lit, le paternel se prit un linteau de porte un peu trop bas et en mourut. Passé le drame de la situation, j’appréciais tout le bien que cela me procurait : j’évitais de choisir entre le père et le suzerain, je gardais ma femme ; et cerise sur le gâteau, j’héritais du titre de comte de Morhai. Ma femme m’a donné quatre enfants, trois garçons et une fille : Emund, Ewald, Humbert (comme moi) et Janine. Je crois que c’est à partir de ce moment-là que le Grand Loup a commencé à se dire qu’il m’avait fait trop de fleurs. Voyez-vous, là où ma petite Janine fut une gamine exemplaire et tenait visiblement de moi, les trois raclures de fonds de bidet que sont devenus mes fils, je me demandais franchement d’où ils pouvaient tenir une telle mollesse d’esprit. Le premier, Emund, est con comme un balai, et même si je lui ai appris à manier les armes, je me tâte à revoir mon testament en sa défaveur tant il a fait montre de son incompétence dans tout domaine demandant à utiliser autre chose qu’une arme. Ewald aurait pu être malin, mais c’est là tout le problème : il se croit plus malin qu’il ne l’est en réalité. Ça fonctionne bien au sein de la fratrie, mais en dehors de celle-ci, c’est un intrigant de bas-étage qui ne survivrait même pas une semaine au palais des Claveaux. Celui qui me fait le plus de peine, cependant, c’est mon petit troisième. Déjà, j’ai eu le malheur de lui donner mon nom, et voyez ce qu’il en fait ! Un jeune débauché, influençable, mou du genou et couillon comme pas deux ! Mon antithèse parfaite, le retour du bâton, la quintessence-même de la ruine de ma maison ! J’ai trouvé preneurs pour les deux premiers, mais impossible de caser le troisième : il finira sa vie avec une gueuse dans son lit, m’est avis. Alors que ma fille Janine, elle, a été si facile à marier. Une belle femme, intelligente, cultivée, brillante autant en repartie qu’en mondanités. Un trésor que je ne voulais pas laisser aller à la cour, mais dont le dépérissement au sein de mon château me fut si insupportable que je dus céder et l’envoyer à Degron. Elle en revint bien des années plus tard à la suite d’un incident impliquant son mari et des bourgeois infectés par la fièvre. Elle me revint veuve mais affublée de deux petits braillards, des garçons que j’élève comme les dignes fils que j’aurais dû avoir. Evrard et Rodric, que leurs oncles détestent tout comme Erbert me détestait moi. Sans ma protection, qui sait ce que ces couillons oseraient leur faire… Et peut-être est-ce pour cela que ma douce Janine prend aussi grand soin de son père : elle sait que sans moi, ses frères commettraient la plus grosse erreur de leur vie. La mienne découla de ma propre arrogance. Je devais en être à mon soixantième printemps, quand au sein de ma propre grand’salle, on me fit une réflexion qui ne me plut guère beaucoup : un de mes bannerets affirmait que j’étais trop vieux pour aller mater les hérétiques. Qui ça, moi ? Humbert de Cornel, comte de Morhai, le Conquérant, je n’avais plus la force de tenir sur un cheval et frapper de mon bras d’armes ? Je me sentais encore avec l’énergie que j’avais il y a vingt ans, et je ne connaissais qu’une manière de répondre à pareille étourderie : une démonstration en bonne et due forme. A l’époque, je montais Ombrage, le destrier qui m’accompagnât vers les plus grands dangers, et qui fut mon compagnon d’armes le plus fidèle. Las, il se faisait vieux, et visiblement, moi aussi. Or, j’avais jeté le gant à ce-même arrogant banneret lors d’une épreuve de joute, mais le pauvret refusait de m’affronter. Je dus le menacer de confisquer sa monture pour qu’il accepte le duel. Si je n’avais pas insisté, je gardais mes jambes. Mais quand nos lances ont percuté nos armures, et que nous avons volé à terre, nous ne pûmes tous deux nous relever : lui occis, moi cul-de-jatte. Dans son infinie sagesse, Huvara venait de me donner une dernière leçon : l’arrogance me mènera à ma propre perte. Et par l’enfer, celle-ci fut dure à avaler. Si je n’étais pas complètement paralysé, car j’étais encore sensible et m’étais en quelques rares occasions redressé à l’aide d’une canne, je ne pus me remettre à marcher comme avant. L’âge aidant, et mes forces diminuant, je ne parvins même plus à me remettre debout à l’aide d’un bâton. Ma mésaventure coïncida fort désagréablement avec la querelle de succession entourant la mort d’Arthur de Sauran. Petit-cousin de celui-ci, j’avais souhaité faire valoir mes droits, mais mon état m’avait empêché d’être pris au sérieux, et je dus donc jurer fidélité – à défaut de ployer le genou – devant Hildegard. J’ai toujours gardé un goût amer en bouche cependant, car du plus loin que je m’en souvienne, les Sauran de Degron ont toujours tout tourné à leur avantage, y compris lorsque les Cornel méritaient leurs propres lauriers. Depuis ce tragique accident, je macère dans mon donjon comme une espèce de relique des temps anciens, avec ma toute nouvelle chaise à roulettes créée par un ministre du Culte. Je suis éloigné de la Corruption, certes, mais entouré par toute une ribambelle de crétins, d’opportunistes, de conspirateurs et d’incompétents. Mes fils veulent me voir mort, mes bannerets viennent régulièrement s’enquérir de mon état pour jauger la situation, et ma femme est devenue si sénile qu’elle peine à se rappeler que je suis son mari. Il n’y a que ma fille et mes petits-enfants pour me remonter le moral, et sans eux, je ne serais sans doute déjà plus de ce monde. Parce que je m’accroche, et je m’accroche ferme. Je ne laisserai pas mon lignage et mon domaine péricliter, ni n’autoriserai mes fils à traîner ma maison dans l’infâme boue dans laquelle ils pataugent ! Pas plus que je ne laisserai tous ces vautours me menacer, car je n’ai pas encore dit mon dernier mot. J’entretiens encore de formidables chevaliers dans ma forteresse, et je m’active auprès des autres dirigeants pour montrer que Morhai n’est pas encore morte. Et gardez en tête une chose, vous qui lisez ces lignes : je ne peux peut-être plus écraser mes ennemis sous mes éperons, mais je leur roulerai dessus à merci, ou sans quartier. "J'ai perdu une grande partie de mes cheveux lorsqu'un charlatan m'a vendu une potion censée m'immuniser à la Corruption. Le gredin pourrit depuis dans mes geôles, après une petite séance de scalpation." "Les Cornel de Morhai ont pour blason trois cors d'or sur un pal de sable, lui-même sur un champ d'or. Il est dit que mes ancêtres étaient férus de chasse, mais peut-être est-ce une manière de dire que nous combattîmes âprement les hordes animales lancées par la Corruption..." "J'ai une grande variété de surnoms et d'épithètes que l'on m'a donné au fur et à mesure de ma longue et trépidante existence. Vous vous doutez bien de pourquoi on m'appelle le Vieux, ou le Baron à Roulettes, mais savez-vous pourquoi l'on me nomme Dix-Cors ? C'est le premier animal touché par la Corruption que j'ai occis, un grand cerf à dix cors, que j'ai frappé de ma lance. Comme sur mon blason figurent trois cors, il fut facile pour mes hommes de faire le rapprochement..." "J'ai encore un peu de sensibilité dans les jambes, et même si cela me demande un effort surhumain, je sais encore les bouger. Pour me mouvoir, j'use d'un cadeau offert par le Culte pour mes combats contre la Corruption : une cathèdre confortablement rembourrée et munie de roulettes, ce qui a amené certains de mes vassaux à se demander dans quelle catégorie la ranger." Vous certifiez sur l'honneur avoir plus de 18 ans ? Vous avez vu ma tronche ? Comment vous nous avez trouvé ? A mon goût. Un avis ? (Sur nous, pas sur le voisin ♪) Mouais, moi le masochisme c'est pas mon truc. Quel est votre smiley préféré ? La plus importante de toutes les questions. | |
Messages : 791 Date d'inscription : 12/05/2023
Mer 24 Jan - 20:10 Naëlla Ka'lion Fille d'Ebris | | Bienvenue Baron jeune de coeur! | |
Messages : 229 Date d'inscription : 23/06/2023
Mer 24 Jan - 23:36 A savoir - Age: 19 ansMétier : Danseuse d'une troupe itinérante Eleora Katsaros Danseuse itinérante | | | |
Messages : 3 Date d'inscription : 24/01/2024
Jeu 25 Jan - 11:46 Humbert de Cornel Comte de Morhai - Degron | | Merci merci ! Fiche terminée :D | |
Messages : 392 Date d'inscription : 14/04/2023
Jeu 25 Jan - 14:04 | | Roh ça parle de roulettes mal huilées, de chevalier Corbeau, de grandeur et de décadence... Ce personnage va ouvrir plein de belles pages, je sens. Avec cette jolie plume, ça promet de bonnes aventures.
La bienvenue par ici, donc ! J'ai grand hâte de te lire ou de te croiser en jeu ! | |
Messages : 68 Date d'inscription : 18/06/2023
Jeu 25 Jan - 14:35 A savoir - Age: 19 ansMétier : Serveuse dans une auberge Aurore Loupenn Petite Perle | | | |
Messages : 597 Date d'inscription : 13/09/2017
Jeu 25 Jan - 19:18 La Corruption Fléau du monde | | Hello,
Corru tatillonne aux manettes ! Parce qu'après tout, je suis chez moi, si je veux vous bassiner avec les subtilités du Lore c'est mon droit :v
Promis je me calme
Je n'ai rien de particulier à redire sur la fiche ce sémillant croulant si ce n'est une petite choses qui ne bloquera pas la validation.
Il a 50 ans Auven n'était pas réellement au bord de l'effondrement sinon ils ne se seraient pas mis à coloniser. Toutefois, je veux bien croire qu'entre la fièvre, le Clergé qui était un peu parti en cacahuète (l'histoire se répète) et la pression de la migration, l'ambiance pouvait être un peu morose dans certains coins de l'enclave.
Voilà, c'était tout ce sur quoi j'avais besoin de pinailler. Il est temps d'aller donner une couleur à ce charmant papy. | |
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